Les choses à retenir :
1. Les petits indépendants rencontrent des difficultés avec les services à abonnement.
2. Les partenariats avec les entreprises de jeux à service sont de moins en moins avantageux.
3. Les deals avec Microsoft pour le Game Pass sont moins juteux pour certains studios.
4. L’Epic Games Store et le PlayStation Plus sont également concernés par cette problématique.
5. La croissance du Game Pass chez Xbox et les chiffres de ventes chez PlayStation posent question sur le marché des jeux à service
Pour les petits développeurs indépendants, le rêve des services par abonnement semble toucher à sa fin. Est-ce la fin de l’âge d’or pour les indés ? Probablement pas, et il semble même avoir toutes les raisons de perdurer, sauf pour ceux qui cherchent à collaborer avec des entreprises proposant des jeux en abonnement où la confiance laisse place à la méfiance. Durant la GDC, PC Gamer a eu l’occasion d’interroger plusieurs studios indépendants (au moins 5 studios comptant moins de 35 personnes) et tous partagent le même constat : contrats avortés, financements annulés, etc. Chez Red Hook Studios (créateurs de Darkest Dungeon), on souligne notamment que les accords avec Microsoft pour le Game Pass sont devenus moins attractifs depuis un certain temps déjà. Il est d’ailleurs de plus en plus difficile d’en obtenir un. Il en va de même pour l’Epic Games Store et bien que cela ne soit pas explicitement mentionné, le PlayStation Plus est également concerné si l’on se penche sur les récentes offres (un seul jeu indépendant proposé dans le service Extra du mois dernier). Ce n’est pas la première fois que cette critique est formulée, Devolver Digital ayant déjà relevé des offres beaucoup moins intéressantes de la part de Sony et Microsoft. Cela s’inscrit finalement dans la problématique actuelle du marché des jeux en abonnement : du côté Xbox, la croissance du Game Pass ne répond pas aux attentes, tandis que chez PlayStation, on préfère rester discret sur les chiffres (après être resté autour des 47 millions pendant un an, Sony a cessé toute communication à ce sujet depuis l’été dernier)
1. Les petits indépendants rencontrent des difficultés avec les services à abonnement.
2. Les partenariats avec les entreprises de jeux à service sont de moins en moins avantageux.
3. Les deals avec Microsoft pour le Game Pass sont moins juteux pour certains studios.
4. L’Epic Games Store et le PlayStation Plus sont également concernés par cette problématique.
5. La croissance du Game Pass chez Xbox et les chiffres de ventes chez PlayStation posent question sur le marché des jeux à service
Pour les petits développeurs indépendants, le rêve des services par abonnement semble toucher à sa fin. Est-ce la fin de l’âge d’or pour les indés ? Probablement pas, et il semble même avoir toutes les raisons de perdurer, sauf pour ceux qui cherchent à collaborer avec des entreprises proposant des jeux en abonnement où la confiance laisse place à la méfiance. Durant la GDC, PC Gamer a eu l’occasion d’interroger plusieurs studios indépendants (au moins 5 studios comptant moins de 35 personnes) et tous partagent le même constat : contrats avortés, financements annulés, etc. Chez Red Hook Studios (créateurs de Darkest Dungeon), on souligne notamment que les accords avec Microsoft pour le Game Pass sont devenus moins attractifs depuis un certain temps déjà. Il est d’ailleurs de plus en plus difficile d’en obtenir un. Il en va de même pour l’Epic Games Store et bien que cela ne soit pas explicitement mentionné, le PlayStation Plus est également concerné si l’on se penche sur les récentes offres (un seul jeu indépendant proposé dans le service Extra du mois dernier). Ce n’est pas la première fois que cette critique est formulée, Devolver Digital ayant déjà relevé des offres beaucoup moins intéressantes de la part de Sony et Microsoft. Cela s’inscrit finalement dans la problématique actuelle du marché des jeux en abonnement : du côté Xbox, la croissance du Game Pass ne répond pas aux attentes, tandis que chez PlayStation, on préfère rester discret sur les chiffres (après être resté autour des 47 millions pendant un an, Sony a cessé toute communication à ce sujet depuis l’été dernier)
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