Les choses à retenir :
– Des accusations contre Bandai Namco pour pression sur les employés à quitter.
– Pratique controversée des ‘salles d’expulsion’ pour motiver les départs.
– Réorganisation de l’entreprise vers des jeux à fort potentiel.
– 200 employés concernés par cette pratique dans une effectif de 1300.
– Un représentant de Bandai Namco dément ces allégations.
Selon des informations rapportées par Bloomberg, la situation chez Bandai Namco semble moins idyllique qu’on pourrait le croire. Bien que l’on aurait pu penser que le Japon était épargné par les difficultés économiques qui ont frappé de nombreuses industries, des rumeurs indiquent le contraire, surtout au sein de cette célèbre entreprise.
Récemment, Bandai Namco a entrepris une réorganisation stratégique visant à se concentrer sur des jeux à fort potentiel plutôt que sur la simple multiplication des sorties. Cela inclut la fermeture de certains projets mobiles comme *Tales of the Rays* et l’abandon du très attendu *Blue Protocol*. Malgré ces changements significatifs, il avait été promis qu’il n’y aurait pas de licenciements.
Cependant, certaines voix s’élèvent pour dénoncer ce qui semble être une pratique problématique au sein de l’entreprise : le recours aux « oidashi beya », ou salles d’expulsion. Ce terme désigne une méthode où des employés sont placés dans un environnement sans travail concret dans le but d’encourager leur départ volontaire. Selon les témoignages d’employés partagés avec Bloomberg, rester inactif peut entraîner une perte progressive d’indemnités en cas de licenciement due à un manque de performance.
Un représentant de Bandai Namco a fermement démenti ces allégations et a expliqué que parfois, les employés doivent simplement patienter avant d’être assignés à un nouveau projet. Néanmoins, Bloomberg rapporte que parmi les 1300 salariés de l’éditeur, environ 200 auraient été affectés à ces fameuses salles d’expulsion et près de la moitié auraient déjà choisi de quitter l’entreprise
– Des accusations contre Bandai Namco pour pression sur les employés à quitter.
– Pratique controversée des ‘salles d’expulsion’ pour motiver les départs.
– Réorganisation de l’entreprise vers des jeux à fort potentiel.
– 200 employés concernés par cette pratique dans une effectif de 1300.
– Un représentant de Bandai Namco dément ces allégations.
Selon des informations rapportées par Bloomberg, la situation chez Bandai Namco semble moins idyllique qu’on pourrait le croire. Bien que l’on aurait pu penser que le Japon était épargné par les difficultés économiques qui ont frappé de nombreuses industries, des rumeurs indiquent le contraire, surtout au sein de cette célèbre entreprise.
Récemment, Bandai Namco a entrepris une réorganisation stratégique visant à se concentrer sur des jeux à fort potentiel plutôt que sur la simple multiplication des sorties. Cela inclut la fermeture de certains projets mobiles comme *Tales of the Rays* et l’abandon du très attendu *Blue Protocol*. Malgré ces changements significatifs, il avait été promis qu’il n’y aurait pas de licenciements.
Cependant, certaines voix s’élèvent pour dénoncer ce qui semble être une pratique problématique au sein de l’entreprise : le recours aux « oidashi beya », ou salles d’expulsion. Ce terme désigne une méthode où des employés sont placés dans un environnement sans travail concret dans le but d’encourager leur départ volontaire. Selon les témoignages d’employés partagés avec Bloomberg, rester inactif peut entraîner une perte progressive d’indemnités en cas de licenciement due à un manque de performance.
Un représentant de Bandai Namco a fermement démenti ces allégations et a expliqué que parfois, les employés doivent simplement patienter avant d’être assignés à un nouveau projet. Néanmoins, Bloomberg rapporte que parmi les 1300 salariés de l’éditeur, environ 200 auraient été affectés à ces fameuses salles d’expulsion et près de la moitié auraient déjà choisi de quitter l’entreprise
Mais on est d’accord que mettre des gens dans des salles vides c’est une idée à la con ? Genre ‘tu restes ici et tu regardes le plafond jusqu’à ce que tu arrives à supporter la situation
Perso, j’suis bien content de pas bosser là-bas. Qu’on te mette dans une salle vide pour t’faire partir ? Non merci ! #jeuxvideo #respectdesemployes
C’est fou comme ils poussent les gens à la démission ! J’ai entendu dire que c’était une pratique courante chez eux… C’est vraiment pas cool !
Franchement, si tu dois attendre un projet et qu’en attendant tu fais rien… Au bout d’un moment, t’as envie de te barrer juste pour fuire la monotonie ! C’est du grand n’importe quoi tout ça!
Ah ben génial, encore une entreprise qui fait n’importe quoi avec ses employés. Un vrai cirque cette situation, Bandai Namco devrait avoir honte