Les choses à retenir :
– les pourparlers sur la situation boursière d’ubisoft avancent.
– la plongée en bourse d’ubisoft atteint presque -90% depuis 2008.
– le clan guillemot envisage un rachat de leurs actions pour éviter une prise de contrôle hostile.
– tencent, deuxième actionnaire majoritaire, impose des conditions strictes pour un éventuel investissement.
– les rumeurs autour de ces négociations font grimper la valeur boursière d’ubisoft.
Selon des informations recueillies par Reuters, le clan Guillemot et Tencent sont actuellement engagés dans un intense bras de fer pour contrôler Ubisoft. Les discussions autour de la situation financière de l’entreprise avancent, mais malgré les efforts, rien ne semble venir améliorer sa position boursière qui a chuté de près de 90 % depuis son pic en 2008. Face à ce risque d’une prise de contrôle hostile, une solution commence à se dessiner du côté du clan Guillemot.
La stratégie envisagée pour éviter une offre publique d’achat (OPA) consiste à se retirer du marché boursier par un auto-rachat. Cependant, cette manœuvre nécessite des fonds considérables et c’est là que Tencent entre en jeu en tant que second actionnaire majoritaire après la famille Guillemot elle-même.
Toutefois, Yves Guillemot et son équipe font face à un dilemme : Tencent exige une plus grande part décisionnelle au sein du conseil d’administration en échange d’un investissement financier significatif. Or, les Guillemot semblent réticents à céder le contrôle total de l’entreprise.
Bien que la situation paraisse stagnante, des sources proches du dossier indiquent qu’Ubisoft fait face à une pression croissante qui pourrait pousser Tencent à jouer la carte de la patience afin d’obtenir validation pour ses exigences. Parallèlement, ces rumeurs ont provoqué une hausse notable de plus de 10 % dans la valeur boursière d’Ubisoft
– les pourparlers sur la situation boursière d’ubisoft avancent.
– la plongée en bourse d’ubisoft atteint presque -90% depuis 2008.
– le clan guillemot envisage un rachat de leurs actions pour éviter une prise de contrôle hostile.
– tencent, deuxième actionnaire majoritaire, impose des conditions strictes pour un éventuel investissement.
– les rumeurs autour de ces négociations font grimper la valeur boursière d’ubisoft.
Selon des informations recueillies par Reuters, le clan Guillemot et Tencent sont actuellement engagés dans un intense bras de fer pour contrôler Ubisoft. Les discussions autour de la situation financière de l’entreprise avancent, mais malgré les efforts, rien ne semble venir améliorer sa position boursière qui a chuté de près de 90 % depuis son pic en 2008. Face à ce risque d’une prise de contrôle hostile, une solution commence à se dessiner du côté du clan Guillemot.
La stratégie envisagée pour éviter une offre publique d’achat (OPA) consiste à se retirer du marché boursier par un auto-rachat. Cependant, cette manœuvre nécessite des fonds considérables et c’est là que Tencent entre en jeu en tant que second actionnaire majoritaire après la famille Guillemot elle-même.
Toutefois, Yves Guillemot et son équipe font face à un dilemme : Tencent exige une plus grande part décisionnelle au sein du conseil d’administration en échange d’un investissement financier significatif. Or, les Guillemot semblent réticents à céder le contrôle total de l’entreprise.
Bien que la situation paraisse stagnante, des sources proches du dossier indiquent qu’Ubisoft fait face à une pression croissante qui pourrait pousser Tencent à jouer la carte de la patience afin d’obtenir validation pour ses exigences. Parallèlement, ces rumeurs ont provoqué une hausse notable de plus de 10 % dans la valeur boursière d’Ubisoft
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