Les choses à retenir :
1. Phil Spencer envisageait de racheter Nintendo en 2020, mais pas de manière hostile.
2. Microsoft avait également des vues sur d’autres grosses entreprises du marché, comme Square Enix.
3. Il y a eu des conversations entre Microsoft et Nintendo sur des collaborations plus étroites.
4. Un rachat demanderait un travail sur le très long terme et nécessiterait que Nintendo prenne conscience que son avenir n’est pas inéluctablement lié à la vente hardware.
5. Pas question pour Microsoft de tenter une OPA hostile contre Nintendo, même s’ils ont les ressources nécessaires
En 2020, Phil Spencer avait une idée en tête : racheter Nintendo. Oui, vous avez bien lu ! Selon les documents FTC non expurgés qui ont fuité récemment, le directeur commercial de Microsoft avait émis le souhait de s’offrir le célèbre fabricant console japonais ainsi que Valve. Une perspective qui a dû en faire saliver plus d’un chez les fans et les actionnaires des deux entreprises.
Pourquoi cette envie subite ? Phil Spencer considère Nintendo comme l’un des principaux atouts gaming de Microsoft dans sa conquête du marché. Il aurait même eu des discussions avec la firme nippone pour envisager des « collaborations plus étroites » avant la publication de ces documents confidentiels.
Mais attention, il ne faut pas se méprendre : si un éventuel rachat se concrétisait, ce serait sur le très long terme et après que Nintendo ait pris conscience que son avenir ne repose pas uniquement sur la vente hardware (et donc qu’une collaboration avec Microsoft pourrait être bénéfique). De plus, face à une entreprise ayant une solide pile d’argent et un conseil d’administration peu enclin à l’expansion drastique de son audience au-delà de ses propres machines (d’où sa faible présence sur le marché mobile), tenter une offre publique d’achat hostile serait complètement inutile selon Phil Spencer.
Malgré tout, Mason Morfit (ancien membre du conseil d’administration de Microsoft) a massivement acheté des actions Nintendo pour créer de nouvelles opportunités. Mais il est important de souligner que même si Microsoft dispose des ressources nécessaires pour réaliser un tel coup financier, ils ne sont absolument pas intéressés par une OPA hostile.
Il est clair que Microsoft a des vues sur de nombreuses grosses entreprises du marché comme Square Enix, mais la situation avec Nintendo est particulièrement intéressante et pourrait ouvrir des perspectives passionnantes dans le futur. Nous espérons tous que ces discussions se poursuivront et qu’un partenariat entre les deux géants du jeu vidéo se concrétisera un jour !
1. Phil Spencer envisageait de racheter Nintendo en 2020, mais pas de manière hostile.
2. Microsoft avait également des vues sur d’autres grosses entreprises du marché, comme Square Enix.
3. Il y a eu des conversations entre Microsoft et Nintendo sur des collaborations plus étroites.
4. Un rachat demanderait un travail sur le très long terme et nécessiterait que Nintendo prenne conscience que son avenir n’est pas inéluctablement lié à la vente hardware.
5. Pas question pour Microsoft de tenter une OPA hostile contre Nintendo, même s’ils ont les ressources nécessaires
En 2020, Phil Spencer avait une idée en tête : racheter Nintendo. Oui, vous avez bien lu ! Selon les documents FTC non expurgés qui ont fuité récemment, le directeur commercial de Microsoft avait émis le souhait de s’offrir le célèbre fabricant console japonais ainsi que Valve. Une perspective qui a dû en faire saliver plus d’un chez les fans et les actionnaires des deux entreprises.
Pourquoi cette envie subite ? Phil Spencer considère Nintendo comme l’un des principaux atouts gaming de Microsoft dans sa conquête du marché. Il aurait même eu des discussions avec la firme nippone pour envisager des « collaborations plus étroites » avant la publication de ces documents confidentiels.
Mais attention, il ne faut pas se méprendre : si un éventuel rachat se concrétisait, ce serait sur le très long terme et après que Nintendo ait pris conscience que son avenir ne repose pas uniquement sur la vente hardware (et donc qu’une collaboration avec Microsoft pourrait être bénéfique). De plus, face à une entreprise ayant une solide pile d’argent et un conseil d’administration peu enclin à l’expansion drastique de son audience au-delà de ses propres machines (d’où sa faible présence sur le marché mobile), tenter une offre publique d’achat hostile serait complètement inutile selon Phil Spencer.
Malgré tout, Mason Morfit (ancien membre du conseil d’administration de Microsoft) a massivement acheté des actions Nintendo pour créer de nouvelles opportunités. Mais il est important de souligner que même si Microsoft dispose des ressources nécessaires pour réaliser un tel coup financier, ils ne sont absolument pas intéressés par une OPA hostile.
Il est clair que Microsoft a des vues sur de nombreuses grosses entreprises du marché comme Square Enix, mais la situation avec Nintendo est particulièrement intéressante et pourrait ouvrir des perspectives passionnantes dans le futur. Nous espérons tous que ces discussions se poursuivront et qu’un partenariat entre les deux géants du jeu vidéo se concrétisera un jour !
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