Les réalisateurs quittent le projet d’adaptation cinéma de Street Fighter

Les choses à retenir :
– Départ des réalisateurs Danny et Michael Philippou du projet
– Raisons : question de timing, pas de conflit de vision
– Prévu de lancer un nouveau film d’horreur courant juillet
– Legendary et Capcom cherchent un nouveau cinéaste pour avancer sur l’adaptation
– Patience requise pour la suite du projet


Le projet d’adaptation cinématographique de Street Fighter subit déjà un premier revers avec le départ des deux réalisateurs, Danny et Michael Philippou. En effet, ces derniers ont annoncé qu’ils laissaient leur place à un autre professionnel, non pas en raison de divergences artistiques mais simplement en raison de contraintes de calendrier. Les deux frères, célèbres sur YouTube et ayant connu le succès avec leur film Talk to Me, avaient initialement prévu de commencer le tournage de leur nouveau film d’horreur, Bring Her Back, dès le mois de juillet. Cependant, Legendary et Capcom semblent impatients d’avancer sur l’adaptation des affrontements entre Ryu et ses compagnons, ce qui a conduit à la recherche d’un nouveau réalisateur disposant d’une disponibilité plus flexible. Il faudra donc se montrer patient pour découvrir qui reprendra le flambeau dans ce projet cinématographique très attendu

6 réponses

  1. Ryu92 dit :

    Dommage que les réalisateurs quittent le projet si vite, j’espère que ça ne va pas impacter la qualité du film !

  2. HorrorMovieAddict dit :

    J’avoue que j’aurais bien aimé voir leur vision de l’univers Street Fighter sur grand écran

  3. CapcomLover dit :

    Je sens que ce film va être aussi mouvementé en coulisses qu’à l’écran avec Ryu et sa bande de combattants

  4. StreetFighterFanatic dit :

    Bon ben on croise les doigts pour trouver un remplaçant rapidement et talentueux !

  5. LegendaryFan dit :

    Wow, ça commence fort pour ce film Street Fighter, entre les départs et les emplois du temps chargés

  6. CinemaEnthusiast dit :

    C’est toujours compliqué de jongler entre plusieurs projets, mais c’est la dure réalité du monde du cinéma

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