Les choses à retenir :
1. Phil Spencer a qualifié Sony de concurrent agressif et hostile dans ses pratiques depuis plusieurs années.
2. Sony prend 30 % des revenus que Microsoft réalise sur PlayStation.
3. Sony a conclu des accords pour Deathloop et Ghostwire Tokyo afin qu’ils ne soient pas sur Xbox.
4. Sony avait des plans pour faire de Starfield une exclusivité PS5.
5. Microsoft a sécurisé Starfield en l’achetant, pour éviter de prendre du retard sur le contenu par rapport à ses concurrents directs
Phil Spencer, le PDG de Xbox, a récemment confirmé que Sony avait tenté de sécuriser une exclusivité sur Starfield pour la PS5. Selon Spencer, Sony est un concurrent agressif et hostile dans ses pratiques depuis plusieurs années. D’après lui, chaque fois qu’ils expédient un jeu sur PlayStation, Sony prend 30% des revenus que Xbox réalise sur leurs supports et utilise cet argent pour essayer de réduire la survie de Xbox sur le marché. Ce qui aurait motivé Microsoft à dégainer rapidement le chéquier pour mettre fin à cette tentative d’exclusivité temporaire.
C’est une histoire intéressante et assez commune dans l’industrie du jeu vidéo où les exclusivités sont très importantes pour vendre des consoles ou attirer des joueurs vers une plateforme en particulier. Avec l’annonce de l’acquisition par Microsoft du géant Bethesda (et toutes ses licences), Sony était prêt à tout pour obtenir ne serait-ce qu’une petite part de ce gâteau. Mais Phil Spencer ne s’est pas laissé faire et il a su protéger les intérêts de sa société.
La stratégie de Sony semble être d’avoir recours aux exclusivités pour attirer les joueurs vers sa console (et donc augmenter ses ventes) tandis que Microsoft préfère faire en sorte que tous les jeux soient disponibles sur toutes les plateformes possibles (y compris PC). C’est une différence fondamentale entre ces deux entreprises qui se reflète dans leur approche globale du marché du jeu vidéo.
Il est intéressant aussi de noter que cette bataille entre ces deux géants n’a pas seulement lieu entre eux mais implique également d’autres développeurs de jeux vidéo dont les titres sont concernés par ces négociations. C’est pourquoi il est crucial pour les éditeurs de faire en sorte qu’ils reçoivent leur part du gâteau, car cela peut avoir des conséquences importantes sur leurs revenus.
Cette histoire montre qu’il y a une concurrence féroce entre Microsoft et Sony dans le monde du jeu vidéo. Mais cela ne signifie pas que l’un d’eux a forcément raison ou tort dans sa stratégie commerciale. Ce qui est sûr, c’est que chaque entreprise doit travailler dur pour protéger ses intérêts et ceux de ses clients.
En fin de compte, les exclusivités sont un aspect important du marché des jeux vidéo et il y aura toujours des batailles comme celle-ci entre Microsoft et Sony (et d’autres). Cependant, ce qui est clair, c’est que Phil Spencer a su défendre son entreprise contre la tentative agressive de Sony d’obtenir une exclusivité temporaire sur Starfield pour la PS5. Et cela montre à quel point ces négociations peuvent être difficiles et complexes dans cette industrie en constante évolution
1. Phil Spencer a qualifié Sony de concurrent agressif et hostile dans ses pratiques depuis plusieurs années.
2. Sony prend 30 % des revenus que Microsoft réalise sur PlayStation.
3. Sony a conclu des accords pour Deathloop et Ghostwire Tokyo afin qu’ils ne soient pas sur Xbox.
4. Sony avait des plans pour faire de Starfield une exclusivité PS5.
5. Microsoft a sécurisé Starfield en l’achetant, pour éviter de prendre du retard sur le contenu par rapport à ses concurrents directs
Phil Spencer, le PDG de Xbox, a récemment confirmé que Sony avait tenté de sécuriser une exclusivité sur Starfield pour la PS5. Selon Spencer, Sony est un concurrent agressif et hostile dans ses pratiques depuis plusieurs années. D’après lui, chaque fois qu’ils expédient un jeu sur PlayStation, Sony prend 30% des revenus que Xbox réalise sur leurs supports et utilise cet argent pour essayer de réduire la survie de Xbox sur le marché. Ce qui aurait motivé Microsoft à dégainer rapidement le chéquier pour mettre fin à cette tentative d’exclusivité temporaire.
C’est une histoire intéressante et assez commune dans l’industrie du jeu vidéo où les exclusivités sont très importantes pour vendre des consoles ou attirer des joueurs vers une plateforme en particulier. Avec l’annonce de l’acquisition par Microsoft du géant Bethesda (et toutes ses licences), Sony était prêt à tout pour obtenir ne serait-ce qu’une petite part de ce gâteau. Mais Phil Spencer ne s’est pas laissé faire et il a su protéger les intérêts de sa société.
La stratégie de Sony semble être d’avoir recours aux exclusivités pour attirer les joueurs vers sa console (et donc augmenter ses ventes) tandis que Microsoft préfère faire en sorte que tous les jeux soient disponibles sur toutes les plateformes possibles (y compris PC). C’est une différence fondamentale entre ces deux entreprises qui se reflète dans leur approche globale du marché du jeu vidéo.
Il est intéressant aussi de noter que cette bataille entre ces deux géants n’a pas seulement lieu entre eux mais implique également d’autres développeurs de jeux vidéo dont les titres sont concernés par ces négociations. C’est pourquoi il est crucial pour les éditeurs de faire en sorte qu’ils reçoivent leur part du gâteau, car cela peut avoir des conséquences importantes sur leurs revenus.
Cette histoire montre qu’il y a une concurrence féroce entre Microsoft et Sony dans le monde du jeu vidéo. Mais cela ne signifie pas que l’un d’eux a forcément raison ou tort dans sa stratégie commerciale. Ce qui est sûr, c’est que chaque entreprise doit travailler dur pour protéger ses intérêts et ceux de ses clients.
En fin de compte, les exclusivités sont un aspect important du marché des jeux vidéo et il y aura toujours des batailles comme celle-ci entre Microsoft et Sony (et d’autres). Cependant, ce qui est clair, c’est que Phil Spencer a su défendre son entreprise contre la tentative agressive de Sony d’obtenir une exclusivité temporaire sur Starfield pour la PS5. Et cela montre à quel point ces négociations peuvent être difficiles et complexes dans cette industrie en constante évolution
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