Les choses à retenir :
1. Skull Island : Rise of Kong est considéré comme un candidat potentiel pour le pire jeu de l’année 2023.
2. Le jeu a été développé avec un budget très limité et en seulement un an.
3. Les développeurs ont dû accepter ces conditions pour survivre, bien que les fonds ne soient pas suffisants pour maintenir toute l’équipe.
4. Avec entre 2 et 20 développeurs travaillant sur le projet à différents moments, il était impossible de produire un jeu de qualité en seulement 12 mois.
5. Bien que les résultats soient catastrophiques, certains des développeurs restent fiers du travail accompli compte tenu des circonstances difficiles dans lesquelles il a été réalisé
Skull Island: Rise of Kong est un jeu qui n’a pas vraiment fait l’unanimité avec ses joueurs. Bien qu’il ait ses défauts, certains développeurs ont décidé de se mettre en avant pour expliquer les conditions difficiles dans lesquelles le jeu a été créé. En effet, IguanaBee, le studio responsable du développement de Skull Island a travaillé avec un budget limité et seulement une année pour créer le jeu du début à la fin.
Malgré les moqueries autour de la qualité médiocre du jeu final, il faut souligner que ce n’était pas la première fois que GameMill, l’éditeur chilien derrière Skull Island : Rise of Kong, avait demandé à un développeur de créer un jeu en seulement une année. Les petits studios comme IguanaBee n’ont souvent pas d’autre choix que d’accepter ces conditions drastiques afin de survivre.
En réalité, Skull Island était développé par une équipe composée entre 2 et 20 développeurs selon les moments. Avec si peu d’effectifs et si peu d’argent rien ne pouvait être fait pour améliorer la note globale du jeu sur Metacritic ou Steam.
Néanmoins, quelques uns des développeurs restent fiers du travail accompli car ils savaient dès le départ que ce projet serait difficile.
Il est aussi important de noter que IguanaBee avait collaboré avec Studio Voyager pour produire What Lies in the Multiverse en 2022. Grâce à davantage de temps et d’employés disponibles pour cette production-là le résultat était bien meilleur : environ 80% sur Metacritic et 94% d’évaluations positives sur Steam ainsi qu’un prix du meilleur jeu produit en Amérique Latine au Best International Games Festival.
Il est clair que les conditions de production peuvent grandement influencer la qualité finale d’un jeu. Espérons que les studios et éditeurs trouveront un compromis pour permettre à tous de réaliser des projets exceptionnels sans sacrifier la santé et le bien-être des développeurs
1. Skull Island : Rise of Kong est considéré comme un candidat potentiel pour le pire jeu de l’année 2023.
2. Le jeu a été développé avec un budget très limité et en seulement un an.
3. Les développeurs ont dû accepter ces conditions pour survivre, bien que les fonds ne soient pas suffisants pour maintenir toute l’équipe.
4. Avec entre 2 et 20 développeurs travaillant sur le projet à différents moments, il était impossible de produire un jeu de qualité en seulement 12 mois.
5. Bien que les résultats soient catastrophiques, certains des développeurs restent fiers du travail accompli compte tenu des circonstances difficiles dans lesquelles il a été réalisé
Skull Island: Rise of Kong est un jeu qui n’a pas vraiment fait l’unanimité avec ses joueurs. Bien qu’il ait ses défauts, certains développeurs ont décidé de se mettre en avant pour expliquer les conditions difficiles dans lesquelles le jeu a été créé. En effet, IguanaBee, le studio responsable du développement de Skull Island a travaillé avec un budget limité et seulement une année pour créer le jeu du début à la fin.
Malgré les moqueries autour de la qualité médiocre du jeu final, il faut souligner que ce n’était pas la première fois que GameMill, l’éditeur chilien derrière Skull Island : Rise of Kong, avait demandé à un développeur de créer un jeu en seulement une année. Les petits studios comme IguanaBee n’ont souvent pas d’autre choix que d’accepter ces conditions drastiques afin de survivre.
En réalité, Skull Island était développé par une équipe composée entre 2 et 20 développeurs selon les moments. Avec si peu d’effectifs et si peu d’argent rien ne pouvait être fait pour améliorer la note globale du jeu sur Metacritic ou Steam.
Néanmoins, quelques uns des développeurs restent fiers du travail accompli car ils savaient dès le départ que ce projet serait difficile.
Il est aussi important de noter que IguanaBee avait collaboré avec Studio Voyager pour produire What Lies in the Multiverse en 2022. Grâce à davantage de temps et d’employés disponibles pour cette production-là le résultat était bien meilleur : environ 80% sur Metacritic et 94% d’évaluations positives sur Steam ainsi qu’un prix du meilleur jeu produit en Amérique Latine au Best International Games Festival.
Il est clair que les conditions de production peuvent grandement influencer la qualité finale d’un jeu. Espérons que les studios et éditeurs trouveront un compromis pour permettre à tous de réaliser des projets exceptionnels sans sacrifier la santé et le bien-être des développeurs
Commentaires récents