Les choses à retenir :
– Ubisoft annonce une perte nette de 246 millions d’euros sur six mois.
– La société est endettée à hauteur de 1,4 milliard d’euros.
– Près de 2000 employés ont été licenciés en deux ans.
– The Crew Motorfest a eu un lancement réussi mais n’est pas suffisant.
– Assassin’s Creed Shadows suscite des espoirs pour l’avenir.
Ubisoft continue de faire face à des difficultés financières. La société vient de publier son rapport sur le premier semestre de l’année fiscale en cours, et les nouvelles ne sont pas réjouissantes. Le chiffre d’affaires a chuté, et la trésorerie a subi un véritable coup dur avec environ 246 millions d’euros de pertes nettes sur six mois, contre seulement 34 millions l’année précédente. Actuellement, Ubisoft est endettée à hauteur d’1,4 milliard d’euros et a été contrainte de licencier près de 2000 employés au cours des deux dernières années.
C’est une situation difficile pour l’éditeur qui avait misé en 2023 sur The Crew Motorfest, dont le lancement s’est pourtant bien déroulé. Toutefois, cela n’a pas suffi à compenser les déceptions comme celle du jeu Star Wars Outlaws, qui s’ajoute à une liste déjà longue comprenant des titres tels qu’Avatar, Prince of Persia: The Lost Crown ou encore Skull & Bones. Les perspectives pour la fin d’année semblent également sombres ; un simple lancement sur Steam ne suffira pas à redresser la barre.
Dans ce contexte préoccupant, tous les espoirs se portent désormais vers Assassin’s Creed Shadows. Ubisoft tente de rassurer ses fans en promettant une expérience soignée et agréable : la fin des accès anticipés pour certaines éditions ainsi que la première extension offerte à tous sont quelques-unes des promesses faites par l’éditeur. Néanmoins, Yves Guillemot est conscient que février 2025 sera particulièrement chargé en sorties dans le calendrier du secteur vidéo-ludique. Reste à voir si cette stratégie portera ses fruits dans un environnement aussi compétitif
– Ubisoft annonce une perte nette de 246 millions d’euros sur six mois.
– La société est endettée à hauteur de 1,4 milliard d’euros.
– Près de 2000 employés ont été licenciés en deux ans.
– The Crew Motorfest a eu un lancement réussi mais n’est pas suffisant.
– Assassin’s Creed Shadows suscite des espoirs pour l’avenir.
Ubisoft continue de faire face à des difficultés financières. La société vient de publier son rapport sur le premier semestre de l’année fiscale en cours, et les nouvelles ne sont pas réjouissantes. Le chiffre d’affaires a chuté, et la trésorerie a subi un véritable coup dur avec environ 246 millions d’euros de pertes nettes sur six mois, contre seulement 34 millions l’année précédente. Actuellement, Ubisoft est endettée à hauteur d’1,4 milliard d’euros et a été contrainte de licencier près de 2000 employés au cours des deux dernières années.
C’est une situation difficile pour l’éditeur qui avait misé en 2023 sur The Crew Motorfest, dont le lancement s’est pourtant bien déroulé. Toutefois, cela n’a pas suffi à compenser les déceptions comme celle du jeu Star Wars Outlaws, qui s’ajoute à une liste déjà longue comprenant des titres tels qu’Avatar, Prince of Persia: The Lost Crown ou encore Skull & Bones. Les perspectives pour la fin d’année semblent également sombres ; un simple lancement sur Steam ne suffira pas à redresser la barre.
Dans ce contexte préoccupant, tous les espoirs se portent désormais vers Assassin’s Creed Shadows. Ubisoft tente de rassurer ses fans en promettant une expérience soignée et agréable : la fin des accès anticipés pour certaines éditions ainsi que la première extension offerte à tous sont quelques-unes des promesses faites par l’éditeur. Néanmoins, Yves Guillemot est conscient que février 2025 sera particulièrement chargé en sorties dans le calendrier du secteur vidéo-ludique. Reste à voir si cette stratégie portera ses fruits dans un environnement aussi compétitif
Une expérience suffisamment peaufinée’, espérons que ce ne soit pas un jeu poilu type en alpha au lancement!
Fin des accès anticipés’, ils se moquent de nous ou quoi ? C’est un lapsus révélateur!
Quand je pense aux jeux qui partent à la poubelle, je suis dégoûté!