Unity rassure sa clientèle après une vague de mécontentement
Les choses à retenir :
1. Le PDG de Unity, John Riccitiello, a proposé une idée impopulaire de taxe sur les installations pour les développeurs.
2. Cette proposition a provoqué l’indignation de nombreux développeurs indépendants qui ont décidé de quitter Unity.
3. Des entreprises telles que Devolver et Massive Monster ont pris des mesures pour éviter les partenariats avec des jeux sous Unity.
4. Suite à des menaces de mort et peut-être des pressions d’autres grandes entreprises technologiques, Unity a annoncé faire marche arrière sur la proposition de taxe sur les installations.
5. Les développeurs indépendants continuent de critiquer le manque de clarté et la perte de confiance envers Unity après cette affaire
John Riccitiello est un PDG controversé, connu pour avoir réussi à faire d’Electronic Arts la pire entreprise américaine en 2012 et 2013. Depuis son arrivée chez Unity en 2014, il a continué à susciter des réactions négatives de la part de nombreux développeurs indépendants. Sa dernière idée percutante consistait à facturer aux développeurs une taxe d’installation sur leur jeu. Si le jeu dépassait les 200 000 installations depuis sa sortie, il faudrait payer 0,20ct pour chaque nouvelle installation – même si le joueur désinstalle et réinstalle le jeu ! Cette idée de merde a immédiatement provoqué une onde de choc dans l’industrie du jeu vidéo.
De nombreux développeurs se sont plaints que cette décision était injuste et nuisible à l’écosystème déjà fragile des jeux indépendants. La communauté Unity s’est indignée de cette politique fiscale absurde qui incluait également les versions démo jouables ou même les ventes caritatives en bundle. Cela signifiait que chaque fois qu’un nouveau joueur téléchargeait un jeu sur Humble Bundle ou via un service par abonnement tel que Game Pass ou PS Plus, Unity aurait imposé une taxe supplémentaire aux propriétaires du service plutôt qu’aux développeurs eux-mêmes.
La colère était telle que plusieurs entreprises ont annoncé qu’elles quittaient Unity en urgence pour chercher des alternatives moins onéreuses et plus équitables. Devolver Digital a exprimé son mécontentement via Twitter en sous-entendant qu’ils seraient « beaucoup moins chauds » à l’idée d’éditer un jeu développé sous Unity. Massive Monster a même annoncé que leur jeu Cult of the Lamb serait supprimé des magasins en ligne le 1er janvier 2024.
Ces réactions n’ont cependant pas été la seule raison de l’annulation de la réunion annuelle prévue par Unity. La direction a également reçu des menaces de mort anonymes qui ont peut-être incité certains grands acteurs comme Microsoft, Sony et Apple à intervenir pour régler ce conflit potentiellement dangereux.
Finalement, Unity a fait marche arrière en annonçant qu’ils allaient modifier leur plan initial et apporter plus de clarté sur leurs futures politiques fiscales. Cependant, les développeurs indépendants sont sceptiques quant à cette décision tardive et demandent toujours plus d’information concernant les détails exacts de la nouvelle politique. La confiance entre les développeurs indépendants et Unity semble avoir été brisée, il est donc compréhensible que certains cherchent des alternatives au moteur populaire.
Dans l’ensemble, cette saga a été une source inattendue et malvenue du drame dans le monde du développement de jeux vidéo. Espérons que tous ces désaccords puissent être résolus rapidement afin que nous puissions continuer à jouer aux jeux incroyables créés par des développeurs talentueux sans interruption ni coût supplémentaire injustifié !
1. Le PDG de Unity, John Riccitiello, a proposé une idée impopulaire de taxe sur les installations pour les développeurs.
2. Cette proposition a provoqué l’indignation de nombreux développeurs indépendants qui ont décidé de quitter Unity.
3. Des entreprises telles que Devolver et Massive Monster ont pris des mesures pour éviter les partenariats avec des jeux sous Unity.
4. Suite à des menaces de mort et peut-être des pressions d’autres grandes entreprises technologiques, Unity a annoncé faire marche arrière sur la proposition de taxe sur les installations.
5. Les développeurs indépendants continuent de critiquer le manque de clarté et la perte de confiance envers Unity après cette affaire
John Riccitiello est un PDG controversé, connu pour avoir réussi à faire d’Electronic Arts la pire entreprise américaine en 2012 et 2013. Depuis son arrivée chez Unity en 2014, il a continué à susciter des réactions négatives de la part de nombreux développeurs indépendants. Sa dernière idée percutante consistait à facturer aux développeurs une taxe d’installation sur leur jeu. Si le jeu dépassait les 200 000 installations depuis sa sortie, il faudrait payer 0,20ct pour chaque nouvelle installation – même si le joueur désinstalle et réinstalle le jeu ! Cette idée de merde a immédiatement provoqué une onde de choc dans l’industrie du jeu vidéo.
De nombreux développeurs se sont plaints que cette décision était injuste et nuisible à l’écosystème déjà fragile des jeux indépendants. La communauté Unity s’est indignée de cette politique fiscale absurde qui incluait également les versions démo jouables ou même les ventes caritatives en bundle. Cela signifiait que chaque fois qu’un nouveau joueur téléchargeait un jeu sur Humble Bundle ou via un service par abonnement tel que Game Pass ou PS Plus, Unity aurait imposé une taxe supplémentaire aux propriétaires du service plutôt qu’aux développeurs eux-mêmes.
La colère était telle que plusieurs entreprises ont annoncé qu’elles quittaient Unity en urgence pour chercher des alternatives moins onéreuses et plus équitables. Devolver Digital a exprimé son mécontentement via Twitter en sous-entendant qu’ils seraient « beaucoup moins chauds » à l’idée d’éditer un jeu développé sous Unity. Massive Monster a même annoncé que leur jeu Cult of the Lamb serait supprimé des magasins en ligne le 1er janvier 2024.
Ces réactions n’ont cependant pas été la seule raison de l’annulation de la réunion annuelle prévue par Unity. La direction a également reçu des menaces de mort anonymes qui ont peut-être incité certains grands acteurs comme Microsoft, Sony et Apple à intervenir pour régler ce conflit potentiellement dangereux.
Finalement, Unity a fait marche arrière en annonçant qu’ils allaient modifier leur plan initial et apporter plus de clarté sur leurs futures politiques fiscales. Cependant, les développeurs indépendants sont sceptiques quant à cette décision tardive et demandent toujours plus d’information concernant les détails exacts de la nouvelle politique. La confiance entre les développeurs indépendants et Unity semble avoir été brisée, il est donc compréhensible que certains cherchent des alternatives au moteur populaire.
Dans l’ensemble, cette saga a été une source inattendue et malvenue du drame dans le monde du développement de jeux vidéo. Espérons que tous ces désaccords puissent être résolus rapidement afin que nous puissions continuer à jouer aux jeux incroyables créés par des développeurs talentueux sans interruption ni coût supplémentaire injustifié !
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